EUSÈBE DE Césarée
HISTOIRE ECCLÉSIASTIQUE Pour une raison de droits d'Auteurs le texte a été retiré.
Philippe Remacle
Préparation évangélique
Quel est positivement le sujet de ce traité que nous appelons évangélique. Quel est le langage ordinaire de ceux qui entreprennent de nous calomnier. Que ce n'est point sans examen que nous avons embrassé la doctrine du salut. Que ce n'est point inconsidérément que nous avons embrassé la croyance des vérités les plus salutaires, lorsqu'elles nous ont été présentées. Que ce n'est point sans avoir fait de sages réflexions que nous avons abjuré l'erreur superstitieuse de nos pères. De la théologie primitive des Phéniciens et des Égyptiens. Quel est le système des Grecs sur l'origine du monde ? Opinions des philosophes sur la formation de l'univers. Que les hommes de l'antiquité n'ont adoré que les astres, qu'ils n'ont connu ni le Dieu de l'univers, ni l'érection des statues ni les démons. Théologie des Phéniciens.
Abrégé de la théologie égyptienne et son introduction chez les Grecs. Abrégé de la mythologie des Grecs sur les dieux et les héros. Abrégé des initiations secrètes et des mystères occultes du polythéisme. Quelles raisons nous ont déterminés à repousser de semblables doctrines sur la Divinité. Résumé de ce que nous avant dit jusqu'ici. Ce que l'on appela les temples des Dieux n'était autre chose que les tombeaux des morts. Sentiments de Platon sur la théologie des anciens. Théologie des Romains.
De la théologie naturelle des Grecs. De la théologie allégorique des Égyptiens. Suite du même sujet, où nous prouvons que ces interprétations métaphoriques ne conduisent pas en résumé au-delà des astres du ciel, ni plus loin que l'eau, le feu et les autres parties du monde visible. Toutes ces extravagances portent en elles-mêmes le caractère de leur condamnation. Que nous avons eu raison de préférer l'unique vraie théologie aux explications allégoriques des philosophes sur la nature des dieux. Quelles explications les philosophes modernes ont ajoutées à la théologie fabuleuse, pour en découvrir les principes. De la confection des statues et des idoles chez les anciens. Suite de la théologie allégorique des Égyptiens et des Grecs. Réfutation de toutes ces allégories forcées. Réfutation péremptoire des doctrines des Grecs. De l'idole d'Éléphantis. Du sacrifice d'un bœuf offert au soleil à Hiéropolis. Un argument puissant contre les interprétations allégoriques, c'est que leurs auteurs contredisent leur propre doctrine par leur conduite. Que d'un autre côté les dieux eux-mêmes accréditent les interprétations des philosophes et détruisent les fables par les allégories qu'ils y opposent. Qu'il faut ranger parmi les choses impossibles, que les parties du monde ou les puissances divines soient soumises à une force magique et rendent des oracles quand on les consulte. Qu'il ne faut attribuer tous ces oracles qu'à l'artifice des démons. Des oracles établis dans certaines villes, et de ceux en particulier dont les réponses célèbres sont dues à des apparitions extraordinaires des dieux. Quelle est la raison du mépris que nous professons pour eux ? Combien il est facile de démontrer que toutes ces réponses d'oracles ne sont qu'un tissu de fables et d'impostures, oeuvre de la fraude et de la fourberie. On démontre d'après Diogénien que l'art de la divination est dépourvu de fondements, qu'il n'aboutit le plus souvent qu'à l'erreur, et que les prédictions des oracles sont toujours vaines et inutiles, quelquefois même dangereuses. Que nous sommes redevables à la doctrine évangélique d'être délivrés de toutes ces misères. Division de la théologie des Grecs. Que ce n'est pus chez nous, mais dans les écrits mêmes des Grecs, que nous avons puisé les témoignages sur lesquels nous appuyons nos démonstrations. Exposition des mystères des oracles d'après les témoignages des Grecs : serment au sujet des oracles, tirés des écrits de Porphyre. Il faut se garder de divulguer ce qu’en dit le philosophe. Quels sacrifices il faut offrir aux dieux d'après la doctrine de l'oracle d'Apollon. Qu'il ne faut point regarder comme des dieux véritables, ceux auxquels on offre des animaux en sacrifice. Que rien de terrestre ne doit être brûlé et immolé en l'honneur du Dieu suprême. Que de semblables sacrifices ne doivent point être offerts non plus aux puissances divines. Nouvelle autorité en faveur de cette assertion, qu'il ne faut immoler ou offrir rien de terrestre au Dieu souverain. CHAPITRE XIVQue les sacrifices d'animaux sont une injustice, une impiété, un crime digne de toutes les imprécations. Que les Grecs n'offraient pas ces sortes de sacrifices aux dieux, mais aux démons. Sur les anciens sacrifices humains d'après Porphyre et quelques autres philosophes. Les anciens sacrifices humains abolis par la doctrine évangélique. Porphyre défend d'offrir des victimes aux méchants démons. Il ne faut s'attacher qu'au Dieu souverain. Apollon ordonnant d'offrir des sacrifices aux méchants démons. Notre Sauveur et Seigneur Jésus-Christ, seul libérateur du genre humain, qu'il a affranchi du joug des démons. Manière dont les démons opèrent leurs prestiges. Des méchants démons et de leurs chefs. Ces mauvais esprits prennent la forme de toutes fortes d'animaux pour tromper les hommes.
Nouvelle preuve de l'action des mauvais démons dans les divinations et les oracles des païens : leur impuissance et leur chute depuis la prédication de l'Évangile de notre Sauveur. Comment s'exerçait l'action des démons. Multiplicité et diversité des doctrines superstitieuses des Grecs au sujet de leurs dieux. Tous les oracles et toutes les prophéties des anciens peuples n'étaient que l’œuvre des mauvais démons. Tout ce que la fable attribue aux dieux n'est que l'histoire mystérieuse des démons. On ne peut attendre que la mort, de ceux mêmes qui portent le titre de bons démons. Les démons sont les honteux esclaves des passions lubriques. Quelle est celle qui domine dans chacun d'eux. Aveux des dieux, d'où il résulte qu'ils sont soumis malgré eux à une force irrésistible qui les contraint de céder aux enchantements et aux invocations des hommes. Que les dieux ne sont par libres de se dégager, quand ils le veulent, de la nécessité qui leur est imposée par les invocations. Quels artifices mettent en œuvre les devins pour forcer leurs merveilleuses divinités à se soumettre à eux. Que ce sont les démons eux-mêmes, ces prétendus dieux, qui ont instruit les hommes des prestiges à employer contre eux. De quelle manière mystérieuse ils veulent que leurs idoles soient confectionnées. La forme de ces statues décrite par eux-mêmes. L'art magique inspiré par les dieux. Prédilection des dieux pour la matière inanimée. La chute des oracles prédite par Apollon lui-même. De la mort des démons que les païens prenaient pour des dieux. Des plus célèbres oracles connus dans l'ancienne Grèce. Invectives contre Apollon au sujet de l'obligation imposée par lui aux Athéniens d'envoyer en Crète sept jeunes gens et sept jeunes filles pour y être immolés. L'ambiguïté des oracles d'Apollon cause de la mort d'un grand nombre de ceux qui le consultaient. La ruine de l'empire de Crésus causée par la réponse équivoque d'Apollon. Comment ils se jouent de ceux qui les consultent, et de quelle manière ils les induisent en erreur. Qu'ils ne savent que cacher leur ignorance sous des termes obscurs et inintelligibles. Dans leur impuissance à secourir en aucune manière leurs clients dans les dangers de la guerre, ils ont recours à des réponses équivoques pour leur en imposer et les induire en erreur. Réponse de l'oracle aux Lacédémoniens. Réponse du même oracle aux habitants de Cnide. Ils allumaient le feu de la guerre entre les parties qui venaient les consulter. Que la réponse faite à Lycurgue, législateur des Lacédémoniens, n'est pas digne d'un dieu. On n'a jamais obtenu des oracles une réponse sur des choses sérieuses et utiles. Ils ont souvent donné des conseils que le plus simple bon sens dictait de lui-même. Souvent même ils n'ont donné que des conseils ridicules. Souvent ils ont pris parti pour les causes injustes. Ils ont impudemment accordé les mêmes éloges que le vulgaire aux poètes dont les mœurs n'étaient rien moins que pures. Qu'ils ont fait rendre les honneurs divins à de simples athlètes, vainqueurs à la lutte ou au pugilat. Que ces dieux aiment à flatter les tyrans. Qu'ils ont été jusqu'à faire rendre les honneurs divins à la matière inanimée.
Institutions des anciens Hébreux; que c'est avec raison que nous avons mis leurs livres sacrés au-dessus des ouvrages que nous ont laissés nos pères. Récapitulation des divers points de la théologie des autres nations: de combien de maux elle a été la source pour la société. Parallèle des mœurs des Hébreux : ce qu'ils ont pensé de l'auteur et créateur de l'univers. Leur sentiment sur l'immortalité de l'âme et la nature des corps. Comment ils méritèrent par leur amour les apparitions et les révélations divines rapportées dans leurs écritures. De quel éclat, même avant le judaïsme et la naissance de Moïse, brillait déjà leur piété. Que ce fut Moïse lui-même qui consigna dans un écrit particulier la vie des Hébreux qui avaient vécu avant lui. Que nous avons été judicieux et sages de recevoir leur histoire. Exposé rapide des mœurs des hommes religieux qui ont vécu avant le déluge et après, jusqu'à Moise. Préceptes dogmatiques des Hébreux. De la Providence générale, de la création et de l'arrangement du monde. Sentiment des Hébreux au sujet de Dieu, première cause de toutes choses. Théologie des Hébreux sur le second principe. Sentiment de Philon sur le second principe. Sentiment d'Aristobule sur le même sujet. De la formation des créatures raisonnables. Des puissances contraires. De la nature de l'homme. Sentiment de Philon sur l'âme. Que la matière n'est pas incréée. Sur le même sujet. Extrait des Commentaires d'Origène sur la Genèse. Extrait de Philon sur le même sujet. Que la matière n'est point incréée : qu'elle n'est point la source du mal.
PRÉFACE DANS LAQUELLE ON RÉSUME TOUT L'OUVRAGE. TIRÉ D'ARISTOCLÈS LE PÉRIPATÉTICIEN SUR ARISTOTE ET SUR CE QU'ON EN RACONTE. PRIS DANS SON 7e LIVRE DE L'HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE. DES DOGMES D'ARISTOTE. EN QUOI ILS DIFFÈRENT DE CEUX DES HÉBREUX ET DE PLATON SUR LA QUESTION DU BIEN FINAL. D'ATTICUS LE PLATONICIEN CONTRE ARISTOTE, EN CE QU'IL DIFFÈRE DE MOÏSE ET DE PLATON SUR LA QUESTION DU BIEN FINAL DU MÊME, RELATIVEMENT AU DISSENTIMENT QUI RÈGNE ENTRE ARISTOTE, D'UNE PART, MOÏSE ET PLATON DE L'AUTRE, SUR LA QUESTION DE LA PROVIDENCE. DU MÊME CONTRE LE MÊME, LORSQUE CONTRAIREMENT AUX DOCTRINES DE MOÏSE ET DE PLATON, IL NIE QUE LE MONDE AIT EU UN COMMENCEMENT. DU MÊME CONTRE LE MÊME SUR LA CINQUIÈME ESSENCE SUPPOSÉE DES CORPS, DONT MOÏSE NI PLATON N'ONT POINT EU CONNAISSANCE. DU MÊME CONTRE LE MÊME, A CAUSE DES DIFFÉRENCES QUI LE DIVISENT D'AVEC PLATON DANS LES THÉORÈMES CONCERNANT LE CIEL : QUESTIONS AUXQUELLES MOÏSE N'A ACCORDÉ AUCUNE ATTENTION. DU MÊME CONTRE LE MÊME, SUR LE DISSENTIMENT ENTRE LUI D'UNE PART, PLATON ET LES DOCTRINES DES HÉBREUX D'AUTRE PART, CONCERNANT DE L'ÂME. DU SECOND LIVRE DE PLOTIN DE L'IMMORTALITÉ DE L'ÂME, CONTRE ARISTOTE QUI SOUTIENT QUE L'ÂME EST UNE ENTÉLÉCHIE. TIRÉ DE PORPHYRE SUR LE MÊME SUJET, DANS SON TRAITÉ DE L'ÂME CONTRE BOETHUS CONTRE LE MÊME, POUR SA DIFFÉRENCE D'AVEC PLATON SUR LA
QUESTION DE L'ÂME UNIVERSELLE. TIRÉ D'ATTICUS.
CONTRE LE MÊME QUI TOURNE EN RIDICULE LES IDÉES DE PLATON,
QUE LES ANCIENS HÉBREUX N'ONT PAS IGNORÉES, COMME LEURS LIVRES EN FONT
FOI. TIRÉ DU MÊME.
DE LA PHILOSOPHIE DES STOÏCIENS; EN QUELS TERMES ZÉNON
DÉFINISSAIT LES PRINCIPES. TIRÉ DU 7e LIVRE D'ARISTOCLÈS SUR LA
PHILOSOPHIE.
QUELLE EST L'OPlNION QUE LES STOÏCIENS ONT CONÇUE DE DIEU ET
DE LA CONSTITUTION DE L'UNIVERS. EXTRAIT DE L*ABRÉGÉ D'ARIUS DIDYME.
DE PORPHYRE. CONTRE L'OPINION QUE LES STOÏCIENS SE SONT
FORMÉE DE DIEU. TIRÉ DE LA RÉPUTATION DE BOETHUS DANS SON LIVRE DE L'ÂME.
QUE L'ÊTRE PAR EXCELLENCE N'EST PAS UN COPS COMME LE VEULENT
LES STOÏCIENS. TIRÉ DU PREMIER LIVRE DE NUMENIUS SUR LE BIEN (περὶ
τἀγαθοῦ)
CE QUE LES STOÏCIENS PENSENT SUR L'EMBRASEMENT DE L'UNIVERS.
DE L'OPINION DES STOÏCIENS SUR LA PALINGÉNÉSIE UNIVERSELLE.
DES OPINIONS QUE LES STOÏCIENS SE SONT FORMÉES SUR L'ÂME.
RÉFUTATION PAR LONGIN DE L'OPINION QUE LES STOÏCIENS SE SONT
FORMÉE DE L'ÂME.
CONTRE LES STOÏCIENS, POUR DÉMONTRER QU'lLS NE PEUVENT
PROUVER QUE L'ÂME SOIT UN CORPS. TIRÉ DE PLOTIN, SUR L'ÂME.
OPINIONS DES PHILOSOPHES PHYSICIENS SUR LE SOLEIL (Plutarq.
Philosopic. placit. l. 2, c. 20. Stobée, l. 1er, ch 26, p. 522, de
Heeren).
DE LA GRANDEUR DU SOLEIL (Ibidem, c. 21.).
DE LA FORME DU SOLEIL (Ibidem, c. 22.).
DE LA LUNE (Plut. Ibidem, c. 24.).
DE LA GRANDEUR DE LA LUNE (Plut. Ibidem, c. 25.).
DE LA FIGURE DE LA LUNE (Plut. Ibidem, c. 26.).
DE LA LUMIÈRE DE LA LUNE (Plut. Ibidem, c. 28.).
QUELLE EST L'ESSENCE DES PLANÈTES ET DES ÉTOILES FIXES (Plut.
Ibidem, c. 13.).
DE LA FORME DES ASTRES. (Plut. Ibidem, c. 14.).
COMMENT LE MONDE A ÉTÉ FORMÉ (Plut. Ibidem, Liv. 1er
c. 6.).
SI LE TOUT EST UNIQUE (Plut. Ibidem, Liv. 1er c. 5.).
SI LE MONDE A UNE ÂME ET S'IL EST GOUVERNÉ PAR UNE
PROVIDENCE. (Plut. Ibidem, Liv. 2 c. 3.).
SI LE MONDE EST INDESTRUCTIBLE (Ibid, Liv. 2 c.
4.).
D'OU LE MONDE S'ALIMENTE-T-IL ? (Plutarch. Ibid, l. 2
c. 5.).
PAR QUOI DIEU A-T-IL COMMENCÉ A CRÉER LE MONDE (Ibid,
l.. 2 c. 6.).
DE L'ARRANGEMENT DU MONDE (Plut. Ibid, l.. 2 c. 7.).
QUELLE EST LA CAUSE DE L'INCLINAISON DE L'UNIVERS.
(Ibid, l.. 2 c. 8.)
SUR LÀ QUESTION DE SAVOIR S'IL Y A VIDE EN DEHORS DU MONDE.
(Ibid, l.. 2 c. 9.).
QUELLE EST LA DROITE DU MONDE ET QUELLE EN EST LA GAUCHE.
(Ibid, l.. 2 c. 10.).
DU CIEL ET DE SA SUBSTANCE (Plut. Ibid, l.. 2 c.
10.).
DES DÉMONS ET DES HÉROS. (Plut. ibid, L. 1er, 8.).
DE LA MATIÈRE (Plut. ibid, L. 1, 9.).
DE L'IDÉE EXEMPLAIRE (Plut. ibid, L. 1, c. 10.).
DU CLASSEMENT DES ASTRES (Plut. ibid, L. 2 c.
15.).
DE LA DIRECTION ET DU MOUVEMENT DES ASTRES (Plut.
ibid, L. 2 c. 16.).
D'OU LES ASTRES TIENNENT-ILS LEUR LUMIÈRE (Plut. ibid,
L. 2 c. 17.).
DES FEUX APPELÉS DIOSCURES (Plut. ibid, L. 2 c.
19.).
DE L'ÉCLIPSE DU SOLEIL (Plut. ibid, L. 2 c. 24.).
DE L'ÉCLIPSE DE LA LUNE (Plut. ibid, L. 2 c. 29.).
DE LA FACE DE LA LUNE ET POURQUOI ELLE RESSEMBLE A UNE
TERRE (Plut. ibid, L. 2 c. 30.).
DE LA DISTANCE DE LA LUNE AU SOLEIL (Ibid, L. 2, c.
31.).
DES ANNÉES (Ibid, L. 2, c. 32.).
DE LA TERRE (Plut. Ibid, 3, c. 9.).
DE LA FORME DE LA TERRE (Ibid, L. 3, c. 10.).
DE LA SITUATION DE LA TERRE (Plut., ibid, L. 3,
c. 11).
DU MOUVEMENT DE LA TERRE (Plut. ibid, L. 3, c.
13.).
DE LA MER, COMMENT ELLE S'EST RASSEMBLÉE, D'OU VIENT SON
AMERTUME (Plut. Ibid. L. 3.c. 16).
DES PARTIES DE L'ÂME (Plut. ibid. L. 4. c. 4.).
DU PRINCIPE DIRIGEANT DE L'ÂME (Plut. ibid. L. 4. c.
5).
QUE SOCRATE LE PLUS SAGE DES GRECS MONTRAIT LA FOLIE DES
PHILOSOPHES QUI TIRAIENT GRANDE VANITÉ DE LEUR SCIENCE EN PHYSIQUE :
COMMENT IL FAISAIT VOIR QU'lLS USAIENT LEUR TEMPS A DES CHOSES D'ABORD
INUTILES A LA VIE, PUIS INCOMPRÉHENSIBLES (Xénoph., Mémorab., L.
1er, ch. 1er).
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